LES RELOUS dU NON DENONCENT LA DERIVE SOCIALE LIBERALE DE SHROEDER
es RELOUS DU NON commentent la défaite du social-libéral Shroeder.
Depuis hier, on nous parle de cataclysme en Allemagne, suite à la perte par le SPD (sociaux-démocrates allemands) de lun de leurs bastions, la Rhénanie-Westphalie. Hors cest tout sauf une catastrophe. La déroute des sociaux-libéraux allemands était écrite, tout comme létait celle des sociaux-libéraux français en 2002. Cette défaite devrait servir de contre exemple à tous ceux qui se pavanent avec Shroeder pour vanter les mérites dune constitution européenne qui serait le levier pour faire avancer lEurope Sociale. Cette complète déconnexion avec le peuple de gauche devait être une alerte de plus pour tous ceux qui nous supplient aujourdhui de retenir notre refus du libéralisme sous prétexte que ce ne serait pas le bon moment. Cette incapacité à mobiliser ceux qui souffrent du libéralisme devrait faire réfléchir tous ceux qui comme des apôtres hypnotisés par lannonce messianique dune Europe sociale pour un lendemain toujours plus lointain sont engourdis comme ces reclus de la caverne platonicienne, aveuglés quils sont par la lumière dun peuple plein de lucidité. Oui nous revendiquons de mettre en crise ces notables dignes du second empire, pleins de certitudes et donneur de leçons. Vive la crise, cest notre expression dune lucidité que nous naurions jamais du perdre ! Quand on est de gauche, on ne peut impunément prendre les citoyens pour des moutons en appliquant à la lettre les recettes libérales. Quand on est de gauche, on ne dit pas quon est impuissant face aux licenciements boursiers. On se bat, on lutte aux côtés des salariés. Quand on se dit socialiste, on na pas honte, en période électorale, de dire que son programme est « socialiste ». Quand on est de gauche, on ne se bat pas pour faire adopter, aux côtes des milieux patronaux, une constitution libérale. Ou alors, on se résout à nêtre quune pâle copie de loriginal conservateur et néolibéral. Dans lHistoire, on a toujours préféré loriginal à la copie. On se sent moins trahi, et on se bat, dans la rue, sans aucun complexe. Tant que la gauche social-démocrate naura pas renoué avec les idéaux de lutte et de transformation sociale, les libéraux prendront le pas. Le paysage social-démocrate européen a de quoi laisser perplexe. De Blair, à Jospin, en passant par Shroeder et Zapatero, pas un ne revendique une politique véritablement inspirée du socialisme. Tous font preuve de « pragmatisme ». La « réforme » de lindemnisation chômage dite « Hartz 4 », faite contre lavis de la gauche syndicale et politique a fini décurer ceux qui avaient cru en une alternative politique. LES RELOUS DU NON leur prédisent une mort politique certaine. Soit ces dirigeants réapprennent doù ils viennent et qui ils sont censés défendre, soit la gauche continuera de glisser vers une droite décomplexée qui elle nhésite pas à sassumer. A linstar dun Jean-Marie Bockel qui dans Libération daté du 12 mai tarit léloge dun Tony Blair présenté comme lalternative incontournable à gauche, alors que ce dernier na fait que poursuivre le programme de démantèlement des services publics et des acquis sociaux. Il faut choisir son camp. La troisième voie quils nous proposent, en fait, cest limpasse libérale.
Debout LES RELOUS DU NON, debout tous les moutons noirs quon veut cacher. Quand un relou du NON tombera, un autre sera là pour continuer la chaîne humaine ! LES RELOUS Il nous reste cinq jours, envoyez des SMS à tout votre répertoire, avec un argument choc et court que vous aurez choisi et demandez que vos correspondants les fassent suivre à leur propre répertoire.
Lémancipation des moutons noirs sera luvre des moutons noirs eux-mêmes !
Lesrelousdunon.over-blog.com
Depuis hier, on nous parle de cataclysme en Allemagne, suite à la perte par le SPD (sociaux-démocrates allemands) de lun de leurs bastions, la Rhénanie-Westphalie. Hors cest tout sauf une catastrophe. La déroute des sociaux-libéraux allemands était écrite, tout comme létait celle des sociaux-libéraux français en 2002. Cette défaite devrait servir de contre exemple à tous ceux qui se pavanent avec Shroeder pour vanter les mérites dune constitution européenne qui serait le levier pour faire avancer lEurope Sociale. Cette complète déconnexion avec le peuple de gauche devait être une alerte de plus pour tous ceux qui nous supplient aujourdhui de retenir notre refus du libéralisme sous prétexte que ce ne serait pas le bon moment. Cette incapacité à mobiliser ceux qui souffrent du libéralisme devrait faire réfléchir tous ceux qui comme des apôtres hypnotisés par lannonce messianique dune Europe sociale pour un lendemain toujours plus lointain sont engourdis comme ces reclus de la caverne platonicienne, aveuglés quils sont par la lumière dun peuple plein de lucidité. Oui nous revendiquons de mettre en crise ces notables dignes du second empire, pleins de certitudes et donneur de leçons. Vive la crise, cest notre expression dune lucidité que nous naurions jamais du perdre ! Quand on est de gauche, on ne peut impunément prendre les citoyens pour des moutons en appliquant à la lettre les recettes libérales. Quand on est de gauche, on ne dit pas quon est impuissant face aux licenciements boursiers. On se bat, on lutte aux côtés des salariés. Quand on se dit socialiste, on na pas honte, en période électorale, de dire que son programme est « socialiste ». Quand on est de gauche, on ne se bat pas pour faire adopter, aux côtes des milieux patronaux, une constitution libérale. Ou alors, on se résout à nêtre quune pâle copie de loriginal conservateur et néolibéral. Dans lHistoire, on a toujours préféré loriginal à la copie. On se sent moins trahi, et on se bat, dans la rue, sans aucun complexe. Tant que la gauche social-démocrate naura pas renoué avec les idéaux de lutte et de transformation sociale, les libéraux prendront le pas. Le paysage social-démocrate européen a de quoi laisser perplexe. De Blair, à Jospin, en passant par Shroeder et Zapatero, pas un ne revendique une politique véritablement inspirée du socialisme. Tous font preuve de « pragmatisme ». La « réforme » de lindemnisation chômage dite « Hartz 4 », faite contre lavis de la gauche syndicale et politique a fini décurer ceux qui avaient cru en une alternative politique. LES RELOUS DU NON leur prédisent une mort politique certaine. Soit ces dirigeants réapprennent doù ils viennent et qui ils sont censés défendre, soit la gauche continuera de glisser vers une droite décomplexée qui elle nhésite pas à sassumer. A linstar dun Jean-Marie Bockel qui dans Libération daté du 12 mai tarit léloge dun Tony Blair présenté comme lalternative incontournable à gauche, alors que ce dernier na fait que poursuivre le programme de démantèlement des services publics et des acquis sociaux. Il faut choisir son camp. La troisième voie quils nous proposent, en fait, cest limpasse libérale.
Debout LES RELOUS DU NON, debout tous les moutons noirs quon veut cacher. Quand un relou du NON tombera, un autre sera là pour continuer la chaîne humaine ! LES RELOUS Il nous reste cinq jours, envoyez des SMS à tout votre répertoire, avec un argument choc et court que vous aurez choisi et demandez que vos correspondants les fassent suivre à leur propre répertoire.
Lémancipation des moutons noirs sera luvre des moutons noirs eux-mêmes !
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